J’aime les gens. En général. Je les aime même beaucoup. Je pense que c’est pour ça qu’un jour, je me suis dis que je ferais bien des études de communication. J’aime beaucoup entrer en contact avec eux et les rencontrer. Quand en plus ces rencontres surviennent par la seul force de mon réseau, je trouve ça fascinant, presque magique… Comme une pêche aux canards qu’on ferait les yeux bandés.
Les réseaux – sociaux ou traditionnels (événements de networking…) – augmentent mes chances de tomber sur des gens intéressants. Certains appellent ça la sérendipité, ces hasards heureux qui vous font avancer. Quelque part, en étant actif sur des réseaux (en bloguant, tweetant, en faisant de la veille online, en allant à la rencontre de l’autre…) , c’est comme ci on ajoutait à chaque fois un anneau à son canard ou un crochet en plus à sa canne à pêche. Cela revient à donner à d’autres l’opportunité de trouver un point d’accroche commun avec nous ou nous même de trouver plus facilement le contact qui nous intéresse.
Je me rends de plus en plus compte qu’on a de plus en plus accès à des outils et plateformes pour augmenter cette sérendipité sociale et professionnelle et qu’il faut en faire usage. En ce sens, je trouve les projets de centre d’espaces collaboratifs fascinants… En mettant des personnes ayant des profils très particuliers sur un même espace de travail partagé, on augmente les chances que les uns aient besoins les uns des autres et s’apportent du business mutuellement. En période de crise, c’est vraiment super enthousiasmant. Mais Jean-Yves Huwart vous en parlera bien mieux que moi. Sur ce, faut que j’aille travailler un peu mon réseau.