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Depuis quelques temps, la question qui me taraude : en tant que RP, quel est mon rôle dans notre société et les changements qu’elle traverse ?
Pour répondre à cette question, il est bon d’une part de s’interroger sur la définition même des RP et sur leur valeur ajoutée. La réputation est un élément essentiel de cette définition, c’est la raison pour laquelle j’ai été interroger un spécialiste de la gestion de la réputation : Thierry Bouckaert, patron de l’agence d’Akkanto. Avec lui, nous avons confirmé que la réputation est constituée de trois éléments :
- Ce que disent les organisations
- Ce qu’on dit d’elles
- Ce qu’elles font
Si les RP ont en charge la réputation des marques, leur valeur ajoutée ne peut pas se limiter au premier axe (le discours des marques). Elles ne doivent donc pas se cantonner à ce rôle.
Ce qui est intéresse les journalistes et les relais que les RP activent, c’est également les entreprises et les organisations qui innovent et réalisent des choses innovantes. En ce sens, l’écho médiatique reçu par la start-up Tale-Me, le Netflix du vêtement m’a incité à les interroger sur la manière dont les RP ont pu accompagnement leur lancement et leur dynamique commerciale. Je suis donc aller rencontre Anna Balez, fondatrice de Tale-Me dans son showroom bruxellois. Ensemble, on a parlé de l’impact direct des RP et de l’Influencer Marketing sur le trafic et les ventes (ici, des locations en l’occurrence) de Tale Me.
Show Notes :
- Akkanto, agence de communication spécialisée dans la gestion de la réputation et dans la communication de crise
- Robert Phillips, Trust Me, PR is Dead https://www.holmesreport.com/latest/article/book-review-trust-me-pr-is-dead
- Tale Me, Le Netflix du Vêtement, https://www.taleme-shop.com/